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S’organiser grâce à un outil de pensée visuelle : le Bullet Journal

Vous avez succombé à la mode du Bullet Journal ou du Bujo ?

Alors, un outil miracle ?

Vous avez commencé, vous l’avez adoré, puis vous l’avez peut-être délaissé, voire arrêté et… peut-être repris ?

Cela fait plusieurs années que j’ai adopté cet incroyable outil et que je m’amuse toujours à explorer et à voir comment optimiser son utilisation.

Oui, c’est un formidable outil imaginé par Ryder Carroll (j’ai mis le lien de sa vidéo de présentation générale à la fin de ce post) et vous avez une multitude de sites et de blogs sur le sujet. Donc je ne vais pas revenir sur son organisation et son fonctionnement mais sur quelques constats.

Comme je le disais, c’est un formidable outil, et comme tout outil d’organisation il faut pouvoir l’apprivoiser, en découvrir ses limites et nos limites ! Les identifier est un très bon moyen de comprendre notre propre fonctionnement et ainsi d’identifier ce qui fonctionne ou non POUR NOUS.

Il est important de comprendre que l’on peut le délaisser, que cela demande un effort de s’y mettre et de s’y remettre car toute organisation demande du temps ! Il est donc essentiel de comprendre que le temps consacré à notre Bullet Journal va être un gain de temps pour la suite ! Je ne reviendrais pas ici sur ce fait. Je me rends bien compte que prendre parfois une heure voire plus pour organiser mon emploi du temps, des projets m’en fait énormément gagner !

Néanmoins, son utilisation est liée pour moi à certaines variables :

  • l’envie du moment : si j’ai envie de dire « là je laisse les choses se faire, je n’ai pas de contraintes importantes à gérer, j’ai envie de me laisser un peu porter par ce qui vient » et laisser de côté son Bullet Journal, et bien je ne culpabilise pas de le laisser sur mon bureau ou dans un tiroir (oui il doit quand même rester accessible facilement 😉 !)
  • se détacher du fait que ce ne soit pas une œuvre d’art : bien sûr c’est plus sympa et à relire quand « c’est joli » et c’est même plaisant mais l’objectif n’est pas là ! Et ça prend du temps !!! Donc accepter qu’il ne soit pas parfait : J’ai des pages moches, gribouillées, raturées et des pages plutôt sympas, que j’embellis souvent après…
  • identifier ses rythmes de vie et de pensée : parfois ça vaut le coup de se lever en pleine nuit quand on a une idée et de soit l’enregistrer vocalement sur son tel soit de l’écrire dans son bujo !!! J’étais récemment en train de travailler sur un dispositif de formation (de bon matin) quand j’ai eu des idées pour un projet que j’ai à mettre en place à la fin du mois. Au début j’ai résisté et puis j’ai attrapé mon Bujo et j’ai tout noté… J’ai repris de plus belle ce que je faisais avant avec toute l’ossature de mon projet de la fin du mois noté et prêt à être mis en œuvre !
  • accepter que son bujo va osciller entre différents statuts : celui du meilleur ami, d’une routine agréable et d’une contrainte

L’optimisation du Bullet Journal c’est un peu une équation a plusieurs variables !

D’autres posts verront certainement jour sur cet outil !

Faites-moi part de vos retours :

  • Comment utilisez-vous cet outil ?
  • Utilisez-vous d’autres outils de pensée visuelle ou autres pour vous organiser ?
  • Cette question ne vous intéresse peut-être pas ? 😉

Si vous avez envie d’être accompagné.e sur cet outil, c’est par ici ou contactez-moi directement

Si vous avez envie de réfléchir à une utilisation pour votre équipe, c’est par ici

Si vous avez envie de l’inclure à une formation en pensée visuelle n’hésitez pas à y penser !